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POUR OU CONTRE LA PEINE DE MORT, DEBAT EST DESTINE AUX ETUDIANTS DU PREMIER BAC;

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peine de mort

cinema peine de mort

 

La dernière marche

Film britannique, américain. 

Genre : Drame

Durée : 2h 2min. 

Année de production : 1995

Titre original : Dead Man Walking


synopsis:

Soeur Helen Prejean va accompagner jusqu'a sa mort Matthew Poncelet, condamne a la peine capitale pour l'assassinat de deux adolescents.

 

les livres traitant la peine de mort

 

L'Abolition (Broché)
de Robert Badinter

 

 

Description du produit

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Son nom est lié à la peine de mort. Robert Badinter, avocat, ministre de François Mitterrand et ultérieurement président du Conseil constitutionnel, a fait plier la Constitution. Pour que des cas comme ceux de Buffet et Bontems n'existent plus. Leur exécution, le 24 novembre 1972, transforme Robert Badinter qui devient "un adversaire irréductible de la peine de mort." 1972-1981, une décennie consacrée à une lutte qui ne plait pas à tous. Contre : Valéry Giscard d'Estaing, dans la ligne droite de Pompidou. Pour : François Mitterrand. Lutte politique "car jamais l'abolition n'interviendrait sans une volonté présidentielle" et judiciaire "car il y aurait encore bien des procès où se jouerait la vie de l'accusé".

Au-delà d'un simple récit, L'Abolition permet de mieux comprendre un homme, avec ses émotions, ses peurs et ses moments de doute, qui a pour seule arme sa robe d'avocat. Ce livre n'est pas un cours d'histoire sur l'abolition. C'est l'histoire de l'abolition vue de l'intérieur. Robert Badinter signe un témoignage poignant. Symbole d'un combat très personnel.

Je regardai l'horloge : il était douze heures et cinquante minutes, ce 30 décembre 1981. Le voeu de Victor Hugo, "l'abolition pure, simple et définitive de la peine de mort", était réalisé. (...) Je pensai à tout ce qui était advenu. Puis je rentrai chez moi, le long des allées. C'était fini, la peine de mort.

--Nathalie Robert

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C'est à la fois un récit, un regard sur l'histoire et une plongée dans le premier septennat de François Mitterrand. Dans L'abolition, Robert Badinter se souvient de sa plaidoirie au procès de Patrick Henri, de ceux qui, à droite ou à gauche l'ont suivi.
Non content d'avoir écrit un livre où il relate la genèse du texte qui a rendu la peine de mort hors la loi, l'ancien Garde des Sceaux use aujourd'hui de son influence pour essaimer ses convictions humanistes plus loin que nos petites frontières européennes. Le travail est immense, mais l'avocat ne craint pas d'y perdre le souffle. Au contraire, il met en avant une vérité étouffée, questionne une puissance sûre de ses fondements démocratiques. Pour la campagne "Ensemble contre la peine de mort aux Etats-Unis", de nombreuses manifestations sont prévues et une cyber-pétition sera remise au futur Président américain, le 21 janvier 2001.
Dans une interview au Journal du Dimanche, Robert Badinter précise les faits : "Sur les 5760 condamnations à mort prononcées aux Etats-Unis entre 1973 et 1995, dans 60% des cas, les condamnations n'auraient pas dû intervenir, qu'il s'agisse de violations de la loi, de manquements graves des avocats à leurs devoirs ou d'erreurs judiciaires révélées par la suite". Il signale également que les afro-américains représentent 12% de la population et 34% des personnes exécutées, dans un système judiciaire qui compte mille huit cents procureurs blancs pour vingt-deux procureurs noirs.--Laurent Galiana--

 

les livres traitant la peine de mort

Contre la peine de mort : Ecrits 1970-2006 (Broché)

 

 

escription du produit

Présentation de l'éditeur
" A ce moment de mon existence déjà longue, me retournant vers ce qui fut un combat passionné, je mesure le chemin parcouru vers l'abolition universelle. Mais, tant qu'on fusillera, qu'on empoisonnera, qu'on décapitera, qu'on lapidera, qu'on pendra, qu'on suppliciera dans ce monde il n'y aura pas de répit pour tous ceux qui croient que la vie est, pour l'humanité tout entière, la valeur suprême, et qu'il ne peut y avoir de justice qui tue. Le jour viendra où il n'y aura plus, sur la surface de cette terre, de condamné à mort au nom de la justice. Je ne verrai pas ce jour-là. Mais ma conviction est absolue : la peine de mort est vouée à disparaître de ce monde plus tôt que les sceptiques, les nostalgiques ou les amateurs de supplices le pensent. " R. B.

 

 

L'exécution (Reliure inconnue)
de Robert Badinter

Description du produit

Description
" Un grand roman classique, une histoire de haine, de sang, de mort et d'amour. Oui, d'amour. Unité de temps, de lieu, trois personnages : l'auteur, son vieux maître, la victime - oui, la victime - et puis la foule, avec quelques silhouettes bien plantées au premier rang. Un récit qui va droit son chemin vers la réponse à l'unique question : mourra-t-il ? Ce qui importe, c'est de savoir ce qu'est la justice, comment elle fonctionne, à quoi sert un avocat, pourquoi la peine de mort. C'est tout cela qui nous bouleverse dans ce beau livre, dur et sensible à la fois. Ne laissez plus passer, en tout cas pas ainsi, ce qu'on nomme par dérision peut-être la justice des hommes. " --Ce texte fait référence à l'édition Poche .

 

les livres traitant la peine de mort

Victor Hugo contre la peine de mort (Broché)

 

Description du produit

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Un certain 11 juin 1851, la Cour d'assises de Paris a une drôle d'allure. Devant un parterre de lettrés et d'artistes, il y a là Charles Hugo, journaliste à L'Événement, accusé d'avoir outragé la loi en décrivant l'exécution d'un braconnier guillotiné à Poitiers. Son avocat est Victor Hugo, son père. La plaidoirie est une dénonciation éloquente de la peine de mort :

Ce reste de pénalités sauvages, cette vieille et inintelligente loi du talion, cette loi du sang pour le sang, je l'ai combattue toute ma vie, messieurs les jurés. Et tant qu'il me restera un souffle dans la poitrine, je la combattrai de tous mes efforts comme écrivain, de tous mes actes et de tous mes votes comme législateur.

Charles Hugo fut cependant condamné à six mois de prison. Il n'en reste pas moins que Victor Hugo est resté fidèle à sa parole, à une idée, une obsession même, traversant toute son existence tumultueuse : l'abolition de la peine capitale. Pour qui que ce soit. Qu'il s'agisse de Maximilien, empereur déchu au Mexique, de John Brown, anti-esclavagiste condamné à la pendaison, des nihilistes russes, des patriotes irlandais ou des communards. Cette volonté, née dès les années 1820, s'est affichée dans ses discours politiques, ses pièces de théâtre, ses romans, ses recueils poétiques. À commencer par les Odes et Ballades (1822) ou Le Dernier jour d'un condamné (1829), époustouflante plaidoirie ; à suivre par Notre-Dame de Paris (1833), Les Contemplations (1856), Les Misérables (1862), Les Actes et Paroles (1875) et La Légende des siècles (1883). C'est précisément un recueil de ces textes, d'extraits puisés ici et là, que rassemble ce précieux ouvrage. Avec un double avantage, celui d'indiquer clairement les sources et de bénéficier d'un avant-propos signé par Robert Badinter, cet autre abolitionniste de la peine capitale, qui obtiendra gain de cause en 1981. --Céline Darner