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peine de mort

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POUR OU CONTRE LA PEINE DE MORT, DEBAT EST DESTINE AUX ETUDIANTS DU PREMIER BAC;

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Littérature

 

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peine de mort

correction de devoir n 2

Devoir N 2

 

Chapitre VI

 

1-     Situation du passage.

Dans sa cellule, le condamné dispose de tout ce qu’il faut pour écrire.

 

2-     comment le narrateur se sent-il en prison ?Qu’espère-t-il obtenir ? A qui s’adresse-t-il dans ce chapitre ? Relevez un indice qui le montre.

       il souffre moralement et a de terribles angoisses . Il espère obtenir la clémence. Il     s’adresse à ceux qui condamnent que la peine de mort  est un chatiment extrêmement dur.

 

« N'y aura-t-il pas dans ce procès-verbal de la pensée agonisante, dans cette progression toujours croissante de douleurs, dans cette espèce d'autopsie intellectuelle d'un condamné, plus d'une leçon pour ceux qui condamnent ? « 

« Peut-être cette lecture leur rendra-t-elle la main moins légère, quand il s'agira quelque autre fois de jeter une tête qui pense, une tête d'homme, dans ce qu'ils appellent la balance de la justice ? « 

« Peut-être n'ont-ils jamais réfléchi, les malheureux, à cette lente succession de tortures que renferme la formule expéditive d'un arrêt de mort ? « 

« Se sont-ils jamais seulement arrêtés à cette idée poignante que dans l'homme qu'ils retranchent il y a une intelligence ; une intelligence qui avait compté sur la vie, une âme qui ne s'est point disposée pour la mort ? Non. »

 

3-     Quelles sont les deux grandes questions qui organisent ce texte ?

1   pourquoi ne le ferais-je pas ? (À écrire)

2- Mais quoi écrire ?

 

4-     nous avons deux thèses opposées, lesquelles ?

      Pour chacune de ces thèses, relevez dans un tableau les arguments utilisés :

Thèse réfutée / soutenue – Arguments contre / pour.

 

 

Ecrire

Ne pas écrire le journal des souffrances

 

Est-ce que je puis avoir quelque chose à dire, moi qui n'ai plus rien à faire dans ce monde ? Et que trouverai-je dans ce cerveau flétri et vide qui vaille la peine d'être écrit ?

 

 

Et puis, ce que j'écrirai ainsi ne sera peut-être pas inutile. Ce journal de mes souffrances, heure par heure, minute par minute, supplice par supplice, si j'ai la force de le mener jusqu'au moment où il me sera physiquement impossible de continuer, cette histoire, nécessairement inachevée, mais aussi complète que possible, de mes sensations, ne portera-t-elle point avec elle un grand et profond enseignement ? N'y aura-t-il pas dans ce procès-verbal de la pensée agonisante, dans cette progression toujours croissante de douleurs, dans cette espèce d'autopsie intellectuelle d'un condamné, plus d'une leçon pour ceux qui condamnent ? Peut-être cette lecture leur rendra-t-elle la main moins légère, quand il s'agira quelque autre fois de jeter une tête qui pense, une tête d'homme, dans ce qu'ils appellent la balance de la justice ? Peut-être n'ont-ils jamais réfléchi, les malheureux, à cette lente succession de tortures que renferme la formule expéditive d'un arrêt de mort ? Se sont-ils jamais seulement arrêtés à cette idée poignante que dans l'homme qu'ils retranchent il y a une intelligence ; une intelligence qui avait compté sur la vie, une âme qui ne s'est point disposée pour la mort ? Non.

      Ils ne voient dans tout cela que la chute verticale d'un couteau triangulaire, et pensent sans doute que pour le condamné il n'y a rien avant, rien après.

      Ces feuilles les détromperont. Publiées peut-être un jour, elles arrêteront quelques moments leur esprit sur les souffrances de l'esprit ; car ce sont celles-là qu'ils ne soupçonnent pas. Ils sont triomphants de pouvoir tuer sans presque faire souffrir le corps. Hé ! c'est bien de cela qu'il s'agit ! Qu'est-ce que la douleur physique près de la douleur morale !

 

 

5-     comment est la tonalité du texte ?

La tonalité de ce texte est pathétique : le lexique de la souffrance

Il s’agit de la souffrance morale

    

6-     quelle machine le narrateur fait-il allusion en parlant de « la chute verticale d’un couteau triangulaire ? la guillotine

7-      

      Après avoir délibéré, quelle décision prend-il finalement ?

Le narrateur décide d’écrire son journal des souffrance pour amener les décisions à abolir la peine de mort. 

8-     Quelles sont les possibilités que le narrateur envisage pour l’avenir de ce qu’il écrit. 

 L’abolition de peine de mort

Attachent à la vie

Clémence

 

correction de devoir n 3

Devoir N 3

 

1-     Situation du passage

 

         Un garde a permis au narrateur de se distraire en regardant la cour de la prison, par une  fenêtre.

 

2-     quel spectacle le narrateur rapporte-t-il dans ce passage ? où se déroulent ce spectacle ?qui sont les acteurs ?qui sont les spectateurs ? où sont ils ?quelles sentiments expriment ces gestes et ces cris ?qu’éprouve-t-il à la vue de la réaction des prisonniers ?

 

Le départ des forçats pour Toulon

La grande cour de Bicêtre

Les acteurs sont les forçats

Les spectateurs sont les autres prisonniers

A travers les fenêtres de leurs cellules.

Le rire, le chant, la danse, la joie

Muet immobile, attentif, étonné

 

 

3-     relevez le champ lexical relatif au bruit et le champs lexical de la fête et dites ce qu’ils produisent.

Le champ lexical du bruit : bruit, on entendait ouvrir et fermer, grincer, carillonner, trembler, des pas précipités, des voix s’appeler et se répondre, tumulte.

Champ lexical de la fête : les forças étaient plus gais, tout Bicetre semblait y rire, chanter, courir, danser, fête, cela vous amusera, un spectacle, cris de joie.

4-     divisez ce chapitre en trois grandes parties et donnez un titre à chacune d’entre elles.

      «  J’ai vu, ces jours passés »à « destinée à porter une lanterne ». description du cadre.

      «  midi sonna » à « c’étaient les forçats » les preparatifs du depart des forçats

      « à leur entrée » à « je tombais évanoui » le départ des forçats

 

5-     Comment le narrateur a-t-il pu suivre le spectacle ?

Le narrateur a pu suivre la cérémonie à partir de la fenetre d’une cellule vide où il a été emmené avec beaucoup de précautions

 

 

6-     A quel moment le narrateur / spectateur devient-il acteur ?

Après le départ des forçats pour Toulon les prisonniers se sont retournés voir le narrateur qui devient à son tour acteur et la joie éclate dans la prison.

 

introduction au film " la lingne verte "

Peine de mort 
c'était le jeudi  15 mars 2007 à 19 heures 30 au lycée AFIFI de HaY Mohammadi CASABLANCA

une soirée cinematographique en affiche le film de peine de mort "LA LIGNE VERTE de Fank DARABANT

 

correction du devoir N 5

Devoir N 5  21

 

 

1-     situation du passage.

L’heure de son exécution approche, le narrateur ressent la peur et l’appréhension.

      Sinistre

2-     Quelle est la troisième personne qui a visité le narrateur dans son cachot ?pourquoi l’huissier de la cour royale de Paris est venu rendre visite au narrateur ? comment le narrateur a-t-il appris la nouvelle ?où le narrateur a-t- il été transféré et pourquoi ?

 

 

Un prêtre est venu rendre visite au narrateur dans sa cellule. L’huissier de la cour royale de Paris est venu dire au narrateur que sa demande du renvoi en cassation a été rejetée. Quend le narrateur a appris la nouvelle du rejet de son renvoi en cassation il a d’abord accepté la décision puis il l’a rejetée en pensant à une éventuelle évasion. Le narrateur a été transféré à la Conciergerie pour etre conduit à la place de grève où se font les exécutions.

 

 

3-     comment se présente le prêtre ? quel trait ironique a-t-on ensuite ?

D’une manière sinistre et menaçant. Il s’est assis en face du narrateur d’un sourire bienveillant.

4-     Quel est le registre dominant dans ce chapitre?où la notion de fatalité est-elle exprimé ?

Le registre tragique, le rejet de son pourvoi.

5-     les sentiments du narrateur oscillent entre deux pôles, lesquels ?

il a d’abord accepté la décision puis il l’a rejetée en pensant à une éventuelle évasion.

6-     que ressent le condamné vers la fin ? qu’est-ce qui le montre ? relevez des indices : Phrases (types, longueur…)

détresse et  trouble : un moyen de fuir….une heure.

7-     dans quel cas se trouve-t-il, une fois resté seul ?

le désarroi

 

correction du devoir N 6

1 Situation du passage :

Le jour de son exécution, le narrateur a été transféré de Bicetre à Paris. Il se trouve dans un petit cabinet, au Palais de Justice.

 

 

 

 

2 le narrateur a été conduit au cabinet du directeur pour lui être livré.

L’huissier doit reconduire un autre condamné à Bicetre. Les condamnés sont assimilés à une marchandise qu’on livre et qu’on reçoit ou à du gibier : «  on m’a conduit, l’huissier m’a remis, un échange, gibier ».

Le narrateur a été déposé dans un petit cabinet attenant à celui du directeur.

 

 

 

 

 

 

 

 

3

un condamné âgé de 55 ans et qui attend à son tour son transfert à Bicêtre. un homme d'environ cinquante-cinq ans, de moyenne taille ; ridé, voûté, grisonnant ; à membres trapus ; avec un regard louche dans des yeux gris, un rire amer sur le visage ; sale, en guenilles, demi-nu. Un portrait dévalorisant . Il paraît que la porte s'était ouverte, l'avait vomi, puis s'était refermée sans que je m'en fusse aperçu.

 

 

 

 

 

 

 

4

 

C’est la faute de la société qui na pas pris soin de ce jeune homme. Poussé à volé ou à tué pour vivre.

 

 

 

 

 

 

 

5-

J’empoignai un pain

 

J'acceptai, et je me mis à tuer pour vivre.

 

On prenait l'argent,

 

on enterrait l'homme sous un arbre, en ayant soin que les pieds ne sortissent pas

 

 

 

 

 

 

 

6-

Mon père a épousé la veuve

 

7

 

J'étais resté stupide en l'écoutant

 

Avoir horreur de lui