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peine de mort

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POUR OU CONTRE LA PEINE DE MORT, DEBAT EST DESTINE AUX ETUDIANTS DU PREMIER BAC;

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Littérature

 

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peine de mort

correction du devoir N 6

1 Situation du passage :

Le jour de son exécution, le narrateur a été transféré de Bicetre à Paris. Il se trouve dans un petit cabinet, au Palais de Justice.

 

 

 

 

2 le narrateur a été conduit au cabinet du directeur pour lui être livré.

L’huissier doit reconduire un autre condamné à Bicetre. Les condamnés sont assimilés à une marchandise qu’on livre et qu’on reçoit ou à du gibier : «  on m’a conduit, l’huissier m’a remis, un échange, gibier ».

Le narrateur a été déposé dans un petit cabinet attenant à celui du directeur.

 

 

 

 

 

 

 

 

3

un condamné âgé de 55 ans et qui attend à son tour son transfert à Bicêtre. un homme d'environ cinquante-cinq ans, de moyenne taille ; ridé, voûté, grisonnant ; à membres trapus ; avec un regard louche dans des yeux gris, un rire amer sur le visage ; sale, en guenilles, demi-nu. Un portrait dévalorisant . Il paraît que la porte s'était ouverte, l'avait vomi, puis s'était refermée sans que je m'en fusse aperçu.

 

 

 

 

 

 

 

4

 

C’est la faute de la société qui na pas pris soin de ce jeune homme. Poussé à volé ou à tué pour vivre.

 

 

 

 

 

 

 

5-

J’empoignai un pain

 

J'acceptai, et je me mis à tuer pour vivre.

 

On prenait l'argent,

 

on enterrait l'homme sous un arbre, en ayant soin que les pieds ne sortissent pas

 

 

 

 

 

 

 

6-

Mon père a épousé la veuve

 

7

 

J'étais resté stupide en l'écoutant

 

Avoir horreur de lui

 

 

 

 

correction devoir N 7

1-     situation du passage :

Pour briser sa solitude, le narrateur pense à ceux qu’il aime

2

A sa petite fille. Trois ans. Pathétique

3

Phrase exclamative et interrogative rhétorique

4

Je serai quelque chose d'immonde qui traînera sur la table froide des amphithéâtres ; une tête qu'on moulera d'un côté, un tronc qu'on disséquera de l'autre ; puis de ce qui restera, on en mettra plein une bière, et le tout ira à Clamart.

5

Me tuer de sang-froid,

6

en cérémonie, pour le bien de la chose ; ce flot de peuple joyeux qui déjà se hâte sur les quais,

7

Le narrateur ressent des douleurs morales intenses parce qu’il regrette ce qui s’est passé il regrette d’avoir commis un crime et d’avoir entaché la réputation de sa fille pour tout le restant de sa vie.

8

Car ils vont comprendre qu’il ne faut pas tuer un père d’une qui a tellement besoin de son affection. Et aussi il demande implicitement que les jurés renoncent à l’exécution. Cette derrière va entraîner le malheur à la fille.

9

Tout d’abors elle devient orpheline et losqu’elle devient grande :

si elle va jusque-là, que deviendra-t-elle ? Son père sera un des souvenirs du peuple de Paris. Elle rougira de moi et de mon nom ; elle sera méprisée, repoussée, vile à cause de moi,

10

Le refus de mourir chez les humains s’appelle l’instinct de survie. C’est pour cela que le narrateur tient à la vie lorsqu’il a senti qu’elle est menacée.

 

 

correction du devoir N 8

1

Dans l’attente de son exécution, une seule idée préoccupe le narrateur : la mort.

2

Le narrateur se rappelle le jour où il a vu la guillotine quand il était libre.

3

Les exécutions sont devenues pour le peuple un moment de joie et de fete. Ansi, la fete commence à partir des préparatifs : la foule s’attroupe dès l’installation de l’échafaud, elle assiste au graissage de la rainure et à la décapitations

4

Le narrateur pense que les préparatifs à son exécution sont entrain de faire. Le narrateur espère obtenir une grâce royale à la dernière minutes. Le narrateur préfère les galères à la guillotine parce qu’il tient à la vie.

5

Non

6

Le nom de la chose est effroyable  ;  La combinaison de ces dix lettres ; ce mot hideux, est vague, indéterminée ; la monstrueuse charpente ;

7

une espèce d'estrade ; en bois rouge ; une bascule, échafaudaient. le couteau ; la rainure

8

Architecte de la guillotine

9

Le narrateur est pris dans un tourbillon de peur et de terreur au point où il n’ose pas écrire le mot « guillotine ».

 

correction du devoir N 9

1

Le narrateur n’a plus que quelques heures à vivre. Il se remémore de beaux moments de sa vie.

2

Le narrateur a tenté d’oublier ses souffrances en se réfugiant dans les souvenirs de l’enfance et de la jeunesse. Les souvenirs d’enfance sont qualifiés de doux et de calmes.

Lorsque il était enfant : écolier, rieur, frais, jouant, courant, criant avec des freres.

Lorsque il était jeune : reveur et passionné.

4

Le present du narration.

5

Pepa represente pour le narrateur la douceur, l’aquiarium de sa grande passion. L’utlisation des expessions affectives et aussi des scènes d’amour et de passion …

6

Anaphore

 

 

 

 

correction du devoir N 10 et 11


DEVOIR N 10
Correction :

1

Deux heures quarante-cinq minutes au plus séparent le narrateur de son exécution. Le condamné analyse l’idée de sa mort sous un autre angle.

2

Le narrateur oppose deux discours sur la mort : le sien est celui des responsables qui présument que le condamné ne ressent pas de douleurs lors de l’exécution, que la guillotine simplifie la mort.

3

Le narrateur emploie le discours rapporté ( ils disent que)

 

4

Ironie.

 

5

Pour tourner en dérision le discours des responsables sur la peine de mort, le narrateur emploie deux procédés : l’ironie et l’interrogation rhétorique.

6

Le narrateur vit par anticipation sa mort en imaginant comment elle sera et ce qu’il va ressentir


correction du devoir N11


SITUATION DU PASSAGE

Peu de temps avant son exécution, le narrateur reçoit la visite de Marie, sa petite fille.

2

Portrait physique : elle est fraiche, elle est rose, elle a de grands yeux, elle est belle.

Portrait moral : elle me regardait d’un air étonné, jetant un coup d’œil inquiet, elle a poussé un cri.

3

Le portrait de la fille du narrateur dégage une impression de désolation. La fille est ainsi la négation de son père. Toute la vie que dégage son portrait est à l’opposé de la lente agonie du père.

4

Le narrateur a ressenti une grande amertume et un désespoir total.

5

Le narrateur n’a plus de raison pour vivre.

6

Elle represente une situation dramatique.

7

Lyrique

8

A partir de ce réplique, on constate l’ironie du sort.

- le despoir du narrateur

- la soumission totale.

- le chaos

- l’attente de la mort et renoncement à la vie